La générique du Zovirax, commercialisé depuis l’entreprise Novartis, vient de retrouver la santé publique des pharmacies du Québec, ce qui signifie que le groupe pharmaceutique est également reconnu pour sa part de la sécurité sociale. 

La vente de Zovirax est en cours pour l’industrie pharmaceutique, mais la société ne veut pas dire qu’elle est autorisée. Elle devrait également avoir à la même façon qu’elle peut être également autorisée aux pharmacies d’officine, mais elle aussi devrait être également autorisée aux pharmacies de référence dans le monde de l’industrie.

En effet, la vente de Zovirax a été annulée au Québec par la région du monde, mais ce n’est pas le seul qui a déjà été remplacé par cette vente. La vente en comprimé, à la dose de 1g, sera alors autorisée en Ontario.

Pour le groupe, l’entreprise est aujourd’hui également reconnue par le fait qu’il s’agit d’une société pharmaceutique, mais elle a également un intérêt à réguler leur commercialisation. Les médicaments génériques, qui ont été introduits sur le marché de médicaments génériques, sont soumis à de nombreuses difficultés pour avoir leur fonctionnement normal et sont soumis à un certain nombre d’effets indésirables. Mais, selon une équipe de recherches en Ontario, les médicaments génériques peuvent faire face à une mauvaise utilisation des génériques. 

Au Québec, une nouvelle génération d’antiviraux

La société pharmaceutique a pour objectif de créer un nouveau concept de générique qui peut être utilisé comme médicament d’ordonnance. 

Pour l’entreprise, ce sont aussi des médicaments qui ont été vendus sous la forme de gélules qui ne sont pas fabriqués à partir du Canada. Les gélules seront donc utilisées sur le marché du médicament, et les génériques sont disponibles en vente libre. 

Pour la société, il existe plusieurs génériques qui seront fabriqués dans le monde. 

L’une des principales raisons de la vente de médicaments génériques est qu’il y a des coûts élevés pour le groupe pharmaceutique, et qu’il est souvent plus cher qu’au Canada. 

L’industrie pharmaceutique doit toujours être régulièrement informé de la façon dont elle utilise le générique. Mais elle ne doit pas se renseigner sur les risques d’une utilisation de médicament dans le monde entier. 

L’équipe de recherche du Québec a donc analysé les données disponibles sur les génériques des médicaments, et celle des génériques qui ont été utilisés dans la même catégorie. En effet, les pharmaciens qui commercialisent le médicament sont également plus enclins à trouver des informations complètes sur les risques et les médicaments que peuvent être obtenus sans leur consentement.

Description

Médicament ZOVIRAX 200 mg, comprimé sécable

Ce médicament contient un anti-inflammatoire non stéroïdien: l'ibuprofène. Il appartient à la famille des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et à la sous classe des médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Il a pour propriété d'inhiber la synthèse des prostaglandines, médiateurs intervenant dans la réponse inflammatoire.

Mode d'emploi et posologie du médicament ZOVIRAX

Poudre et comprimés

La posologie recommandée est de 1 comprimé à 200 mg par jour, à renouveler si besoin au bout de 4 à 6 heures. Si nécessaire, la dose quotidienne peut être fractionnée en 2 prises égales.

Comprimés sécables

La posologie usuelle est de 1 comprimé à 200 mg par jour, à renouveler si besoin au bout de 4 à 6 heures.

Les comprimés doivent être avalés sans croquer avec un grand verre d'eau, à intervalles réguliers au cours des repas.

Adultes:

Enfants de 6 à 11 ans:

La posologie usuelle est de 1 à 2 comprimés à 200 mg par jour, à renouveler si besoin au bout de 4 à 6 heures.

Enfants de 2 à 6 ans:

Ce médicament est généralement déconseillé pendant l'allaitement.

Enfants de 6 à 11 ans

En cas d'insuffisance rénale, une adaptation de la posologie de l'ibuprofène peut être nécessaire, en raison du risque accru d'effets indésirables. Une surveillance clinique, biologique et biologique du traitement par l'ibuprofène est recommandée.

La dose maximale journalière est de 200 mg d'ibuprofène.

Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

En raison de ses effets indésirables, l'ibuprofène peut altérer la capacité à conduire et à utiliser des machines.

Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c'est-à-dire qu'il est essentiellement «sans sodium».

Libellé préféré : Zovirax; Définition du MeSH : Ce médicament est un médicament utilisé pour traiter les symptômes d'herpès (infection, douleurs, fièvre, fatigue, maux de tête, ganglions et douleurs à l'estomac) et d'autres affections. Il est utilisé dans le traitement de courte durée des herpès génital et des méningites. Il peut être prescrit par un médecin ou un pharmacien. Il est disponible sous forme de crème, crème à l'eau, comprimé, comprimé orangé, pelliculage et solution buvable.

Informations diverses

Zovirax et grossesse

Durant la grossesse, le médicament peut provoquer une réaction cutanée sévère, qui peut mettre la vie de la mère en danger. La femme doit donc arrêter le traitement immédiatement et en informer son médecin. La prise du médicament est contre-indiquée pendant la grossesse.

Zovirax comprimés

Les comprimés de Zovirax sont des antibiotiques à base d'acyclovir. Ils sont utilisés pour traiter les infections virales telles que le zona ou l'herpès.

Zovirax crème

La crème à base d'acyclovir est indiquée pour traiter les infections virales telles que le zona, l'herpès et le varicelle.

La crème peut être appliquée sur une peau saine ou sur les lésions. La zone doit être bien nettoyée avec de l'eau et du savon.

Pour les lésions de la peau, la crème doit être appliquée sur toute la zone et non uniquement sur les lésions.

Les effets secondaires possibles sont des démangeaisons, des brûlures, une sécheresse cutanée ou des réactions cutanées allergiques.

Le médecin peut décider de poursuivre ou d'interrompre le traitement avec de l'acyclovir.

En cas de réaction cutanée sévère, vous devez arrêter immédiatement le traitement et consulter un médecin.

Les comprimés d'acyclovir sont indiqués pour le traitement des infections virales telles que le zona, l'herpès et le varicelle.

Utilisation d'acyclovir

Le traitement doit être commencé le plus tôt possible. Le traitement dure au moins 5 jours.

Le médicament est pris une fois par jour, avec ou sans nourriture, mais toujours avec un verre d'eau.

Précautions d'emploi avant d'utiliser l'acyclovir

En cas de grossesse ou si vous prenez des médicaments pour traiter l'herpès génital, vous ne devez pas prendre d'acyclovir.

Après avoir cessé de prendre l'acyclovir, la maladie ne peut être complètement guérie.

Les comprimés d'acyclovir ne doivent pas être pris plus longtemps que prescrit par le médecin.

Ne partagez pas la pommade avec d'autres personnes.

Effets secondaires possibles

Des effets secondaires peuvent survenir lors de l'utilisation de l'acyclovir.

À partir du 9 octobre, la ville de Paris sera désormais soumise au couvre-feu, de 22 heures à 6 heures du matin. Une mesure mise en place après plusieurs semaines de mobilisation et de contestation de la population parisienne. Les syndicats de police réclament des renforts et une plus grande présence des forces de l’ordre dans la capitale pour faire face à la violence et à l’insécurité. La maire de Paris, Anne Hidalgo, a approuvé cette mesure qui devrait durer jusqu’au 31 décembre.

Qu’est-ce que le couvre-feu ?

À partir de vendredi 10 octobre, la mairie de Paris va instaurer un couvre-feu entre 22 heures et 6 heures, à l’occasion du 14 juillet, jour de célébration des 247 ans de la fête nationale. En clair, il sera impossible de rentrer à Paris après 21 heures, sauf pour motifs impérieux (travail, courses alimentaires ou déplacements pour raison de santé). Si vous vous rendez dans un autre département d’Île-de-France, sachez que le couvre-feu s’applique également à ses communes limitrophes à l’exception de la petite couronne, qui bénéficie d’un régime dérogatoire pour ses habitants à partir de 22 heures dans la soirée.

Cette mesure est la conséquence d’une mobilisation de la population parisienne, notamment sur les réseaux sociaux, à l’approche des fêtes de fin d’année. La maire de Paris a approuvé la décision de mettre en place ce couvre-feu à partir du 10 octobre, sur les 1 450 communes d’Île-de-France, en application des mesures déjà prises depuis le 27 septembre. La préfecture de police a également approuvé ce dispositif, mais a précisé qu’il serait mis en place « pour une durée d’au moins 4 semaines ».

Des restrictions de déplacement sont prévues dans ce contexte : si vous sortez de Paris pour vous rendre dans un département d’Île-de-France, vous devez obligatoirement remplir une attestation et la présenter aux forces de l’ordre. Il est également recommandé d’éviter de vous déplacer dans le département de résidence ou dans une commune limitrophe où le couvre-feu est en vigueur. Il s’agit, par exemple, d’éviter de vous rendre dans le Val-de-Marne ou en Seine-Saint-Denis en cette période de fête de fin d’année.

Un dispositif similaire a déjà été mis en place dans les Alpes-Maritimes, en Isère, en Savoie et en Seine-et-Marne, pour faire face à des violences dans les centres commerciaux des 1er et 2e arrondissements de Paris et dans l’agglomération parisienne et les communes limitrophes. Ces mesures ont pris fin vendredi 20 décembre 2020.

La capitale et le Val-de-Marne ont été les premiers à instaurer un couvre-feu

Depuis vendredi 10 octobre, les communes de Paris et du Val-de-Marne sont soumises au couvre-feu à partir de 21 heures. Les villes d’Aix-Marseille et de Montpellier ont instauré un couvre-feu dans la nuit du 26 au 27 octobre, ainsi que la région Grand-Est. En Île-de-France, les communes de Paris et du Val-de-Marne sont concernées, de même que les départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les autres départements de la petite couronne de la région parisienne ne sont pas concernés par cette mesure.

Selon la préfecture de police, il s’agit de répondre à « une augmentation du taux de circulation du virus » dans les transports en commun. Le virus est « porteur de plusieurs souches » et il est « très difficile de le détecter » en milieu urbain, « avec une densité des points de contact élevée » où le virus circule encore plus que sur les axes routiers, comme le recommande l’OMS (Organisation mondiale de la santé).

L’impact du couvre-feu

La mesure de couvre-feu est-elle efficace pour endiguer la propagation du coronavirus ? Cette mesure a-t-elle un impact sur la circulation du virus dans les transports en commun ? À ce stade, il est difficile de répondre à cette question. Néanmoins, les chiffres de la préfecture de police montrent que la circulation du virus reste forte dans la capitale, comme dans toute l’Ile-de-France. En parallèle, il est très compliqué de quantifier le nombre de personnes infectées par le coronavirus dans les transports en commun, du fait de la faible densité de population et des flux de personnes.

C’est pour cette raison que les autorités sanitaires ont mis en place un système de dépistage systématique du Covid-19 dans les transports en commun. Le 27 octobre, 35 000 passagers du RER A et du RER B ont ainsi été dépistés, soit un taux d’occupation des trains de plus de 70 %, avec une densité des personnes infectées supérieure à 100 % dans 10 % des cas. Le 28 octobre, 10 000 personnes ont également été testées.

Selon le Syndicat des transports d’Île-de-France (STIF), le taux de circulation du virus est « à peu près stable » dans les transports en commun, et il est inférieur à celui du reste de la région parisienne. Il est encore trop tôt pour savoir si le couvre-feu à Paris et dans le Val-de-Marne a un impact sur la circulation du virus.

La maire de Paris, Anne Hidalgo, a approuvé la décision de mettre en place ce couvre-feu à partir du 10 octobre, sur les 1 450 communes d’Île-de-France, en application des mesures déjà prises depuis le 27 septembre.

Les autres mesures prises dans les transports en commun

Les autorités sanitaires rappellent que les mesures de confinement dans les transports en commun restent valables et recommandent de continuer à suivre les mesures barrières : se laver régulièrement les mains et porter un masque lorsqu’on ne peut pas respecter la distanciation sociale.

Ces mesures permettent de limiter la propagation du virus dans les transports en commun, car la densité des personnes infectées est faible. En revanche, les voyageurs ne doivent pas sortir de leur lieu de résidence et rester en « isolement de 7 jours. » Le 27 octobre, le STIF a annoncé que les passagers des transports franciliens étaient priés de prendre des mesures « barrières » lors de leur trajet, en cas de déplacement vers une autre région, et de respecter les règles de « distanciation sociale ».

En parallèle, le préfet du Val-de-Marne a annoncé le renforcement des contrôles dans les transports publics pour vérifier le respect de la distanciation sociale. Cette mesure a été mise en place dans les transports en commun, dans les gares et aux abords des gares et arrêts des bus et des tramways. Le 27 octobre, un total de 4 000 policiers et gendarmes ont été déployés pour contrôler la distanciation physique.

La Ville de Paris a déjà instauré un couvre-feu

La maire de Paris, Anne Hidalgo, avait déjà mis en place un couvre-feu à Paris, le 24 septembre, pendant quinze jours. Il concernait les habitants de la petite couronne et les personnes qui se trouvaient dans les départements de la petite couronne. À partir du 31 octobre, le couvre-feu a été étendu à tout le département de Paris. Cette mesure a été mise en place en application des mesures de restrictions de déplacement déjà prises depuis le 27 septembre.

Pour rappel, il est interdit de se rendre dans les 10 départements touchés par une forte circulation du virus, dans les 24 heures précédentes, sauf motif impérieux (travail, soins ou examens médicaux). Les départements concernés sont les suivants : le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme, l’Oise, l’Aisne, les Ardennes, la Marne, la Haute-Marne, la Meuse, les Vosges, la Meurthe-et-Moselle, la Moselle, la Haute-Côte-d’Or, la Côte-d’Or, la Nièvre et la Saône-et-Loire. Il est également interdit de se rendre dans les 26 départements qui comptent plus de 20 000 cas de coronavirus positifs au cours des 7 derniers jours.

À partir du 31 octobre, le couvre-feu s’appliquera à tout le département de Paris, ainsi que dans les 26 départements qui comptent plus de 20 000 cas de coronavirus en France depuis sept jours. Les résidents parisiens ne sont plus autorisés à sortir de leur département jusqu’à 21 heures.

Le couvre-feu peut-il durer ?

Selon le ministre de la Santé, Olivier Véran, « le couvre-feu peut durer » car « l’épidémie continue à se développer ». Le ministre a précisé qu’il s’agit d’un « dispositif temporaire » qui « va durer » jusqu’à fin 2020. Il sera ensuite enlevé pour être remplacé par le confinement.

Selon les autorités sanitaires, ce couvre-feu « ne va pas durer indéfiniment ». Les mesures de prévention du virus sont toujours d’actualité. Le ministre de la Santé a également ajouté que la circulation du virus se poursuit dans les 26 départements où le couvre-feu est en vigueur. Il est donc toujours déconseillé de sortir de chez soi.